Culte

Dimanche 29 mars 2020

depuis la maison

Culte à la maison

 

 

Salutation et prière d’ouverture

 

Frères et sœurs, la grâce et la paix vous sont donnéesde la part de Dieu qui nousrassemble,et de Jésus-Christ qui nous aime et nous conduit.

 

Prions :

Seigneur,

nous venons auprès de toi avec confiance.

Nous avons soif de ta Parole,

nous avons faim de ta Vie.

Tu ne nous laisseras pas repartir le cœur vide,

nous le croyons à cause de Jésus-Christ, notre Seigneur,

– Amen.

 

Chers amis,

En ce dimanche 29 mars, à nouveau, le confinement décrété par le gouvernement pour faire face à la pandémie du Coronavirus nous oblige à rester chez nous et c’est alors chez nous, et à l’aide de nos écrans d’ordinateur ou de tablette, que nous vivrons ce culte.

 

Avant de lire les Ecritures, je vous invite à louer Dieu en chantant !

 

Chant : « Tournez les yeux vers le Seigneur »

https://www.youtube.com/watch?v=XPAnmXBJnH4

 

(Refrain)

Tournez les yeux vers le Seigneur

Et rayonnez de joie !

Chantez son nom de tout votre cœur,

Il est votre Sauveur,

C’est lui votre Seigneur.

  1. J’ai recherché le Seigneur

Et il m’a écouté ;

Il m’a guéri de mes peurs

Et sans fin je le louerai.

Refrain.

 

  1. Dieu regarde ceux qu’il aime,

Il écoute leur voix ;

Il consolera leur peine

Et il guidera leurs pas.

Refrain.

 

  1. Ceux qui cherchent le Seigneur

Ne manqueront de rien ;

En lui ouvrant grand leur cœur

Ils seront comblés de biens.

Refrain.

 

Nous prions :

Seigneur, notre Dieu, aujourd’hui, dans ce temps si particulier où nos quotidiens sont bouleversés, nous voulons te prier…

Quand le silence s’impose durement,

Quand les murs de notre foyer semblent devenir plus étroits que jamais,

Quand la maladie continue, qu’elle ne connaît pas de repos,

Quand les pierres encore fraîchement posées de notre dur labeur se mettent à trembler,

Quand l’avenir se trouble au point de ne plus rien distinguer,

Seigneur, nous t’en prions, par ta Parole,

Viens rallumer la flamme de notre espérance,

Apaise nos cœurs troublés, anxieux,

Donne-nous de continuer à espérer au jour nouveau qui se lève,

Ouvre nos yeux à ton lien d’amour qui nous unit.

Nous t’en prions, au nom de ton Fils Jésus-Christ,

Amen

 

 

Malgré l’impossibilité de nous rencontrer en chair et en os, nous sommes reliés les uns aux autres par l’écoute commune de la Parole que Dieu veut nous adresser en ce temps d’épreuve. …

Et cette Parole qui nous est adressée ce matin c’est le récit du retour à la vie de Lazare… et de bien d’autres !

 

Cela se trouve au chapitre 11 de l’Evangile selon Jean, versets 1 à 44 :

 

  1. 1. Il y avait un malade, Lazare, de Béthanie, le village de Marie et de Marthe, sa sœur. 

2— C’est Marie qui répandit du parfum sur le Seigneur et qui lui essuya les pieds avec ses cheveux, et c’est son frère, Lazare, qui était malade. — 

  1. 3. Les sœurs envoyèrent quelqu’un lui dire : Seigneur, ton ami est malade. 
  2. 4. Quand il entendit cela, Jésus dit : Cette maladie ne mène pas à la mort ; elle est pour la gloire de Dieu, afin que par elle le Fils de Dieu soit glorifié. 
  3. 5. Or Jésus aimait Marthe, sa sœur et Lazare.
  4. 6. Quand donc il eut entendu dire que celui-ci était malade, il demeura encore deux jours au lieu où il était, 
  5. 7. puis il dit aux disciples : Retournons en Judée. 
  6. 8. Les disciples lui disent : Rabbi, tout récemment les Juifs cherchaient à te lapider, et tu y retournes ! 
  7. 9. Jésus répondit : N’y a-t-il pas douze heures dans le jour ? Si quelqu’un marche de jour, il ne trébuche pas, parce qu’il voit la lumière de ce monde ; 
  8. 10. mais si quelqu’un marche de nuit, il trébuche, parce que la lumière n’est pas en lui.
  9. 11. Après avoir dit cela, il ajoute : Lazare, notre ami, s’est endormi, mais je vais le réveiller de son sommeil. 
  10. 12. Les disciples lui dirent : Seigneur, s’il s’est endormi, il est sauvé ! 
  11. 13. Jésus avait parlé de sa mort, mais eux pensèrent qu’il parlait d’un simple sommeil. 
  12. 14. Alors Jésus leur dit ouvertement : Lazare est mort. 
  13. 15. Et, pour vous, je me réjouis de n’avoir pas été là, afin que vous croyiez. Mais allons vers lui. 
  14. 16. Thomas, celui qu’on appelle le Jumeau, dit alors aux autres disciples : Allons-y, nous aussi, pour que nous mourions avec lui !
  15. 17. A son arrivée, Jésus constata que Lazare était déjà dans le tombeau depuis quatre jours. 
  16. 18. Or Béthanie était proche de Jérusalem, à quinze stades environ. 
  17. 19. Beaucoup de Juifs étaient venus trouver Marthe et Marie pour les réconforter au sujet de leur frère.
  18. 20. Lorsque Marthe eut entendu dire que Jésus arrivait, elle vint au-devant de lui, tandis que Marie restait assise à la maison. 
  19. 21. Marthe dit à Jésus : Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort ! 
  20. 22. Mais maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te le donnera. 
  21. 23. Jésus lui dit : Ton frère se relèvera. 
  22. 24. Je sais, lui répondit Marthe, qu’il se relèvera à la résurrection, au dernier jour. 
  23. 25. Jésus lui dit : C’est moi qui suis la résurrection et la vie. Celui qui met sa foi en moi, même s’il meurt, vivra ; 
  24. 26. et quiconque vit et met sa foi en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? 
  25. 27. Elle lui dit : Oui, Seigneur, moi, je suis convaincue que c’est toi qui es le Christ, le Fils de Dieu, celui qui vient dans le monde.
  26. 28. Après avoir dit cela, elle s’en alla. Puis elle appela Marie, sa sœur, et lui dit en secret : Le maître est arrivé, il t’appelle. 
  27. 29. Dès qu’elle entendit cela, celle-ci se leva vite pour venir à lui ; 
  28. 30. car Jésus n’était pas encore entré dans le village ; il était encore au lieu où Marthe était venue au-devant de lui. 
  29. 31. Les Juifs qui étaient dans la maison avec Marie pour la réconforter la virent se lever vite et sortir ; ils la suivirent, pensant qu’elle allait pleurer au tombeau.
  30. 32. Lorsque Marie fut arrivée là où était Jésus et qu’elle le vit, elle tomba à ses pieds et lui dit : Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort ! 
  31. 33. Quand Jésus la vit pleurer, et qu’il vit pleurer aussi les Juifs qui étaient venus avec elle, son esprit s’emporta et il se troubla. 
  32. 34. Il dit : Où l’avez-vous mis ? — Seigneur, lui répondirent-ils, viens voir ! 
  33. 35. Jésus fondit en larmes. 
  34. 36. Les Juifs disaient donc : C’était vraiment son ami ! 
  35. 37. Mais quelques-uns d’entre eux dirent : Lui qui a ouvert les yeux de l’aveugle, ne pouvait-il pas aussi faire en sorte que cet homme ne meure pas ?

38.Jésus, s’emportant de nouveau, vint au tombeau. C’était une grotte, et une pierre était placée devant. 

39.Jésus dit : Enlevez la pierre. Marthe, la sœur du mort, lui dit : Seigneur, il sent déjà : c’est le quatrième jour ! 

  1. 40. Jésus lui dit : Ne t’ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? 

41.Ils enlevèrent donc la pierre. Jésus leva les yeux et dit : Père, je te rends grâce de ce que tu m’as entendu. 

42.Quant à moi, je savais que tu m’entends toujours, mais j’ai parlé à cause de la foule qui se tient ici, pour qu’ils croient que c’est toi qui m’as envoyé. 

43.Après avoir dit cela, il cria : Lazare, sors ! 

44.Et le mort sortit, les pieds et les mains liés de bandelettes, et le visage enveloppé d’un linge. Jésus leur dit : Déliez-le, et laissez-le aller.

Chant : « Oh prends mon âme » 

https://www.youtube.com/watch?v=UlmA_297mkU

 

  1. Oh ! Prends mon âme, prends-la Seigneur,

Et que ta flamme brûle en mon cœur.

Que tout mon être vibre pour toi,

Sois seul mon maitre, O divin roi.

 

Refrain

Source de vie, de paix, d’amour,

Vers toi je crie, la nuit, le jour ;

Entends ma plainte, sois mon soutien,

Calme ma crainte,

Toi mon seul bien

 

  1. Du mal perfide, Oh ! garde-moi,

Viens sois mon guide, chef de ma foi.

Quand la nuit voile tout à mes yeux,

Sois mon étoile, brille des cieux.

 

 Refrain

 

  1. Voici l’aurore d’un jour nouveau ;

Le ciel se dore de feux plus beau.

Jésus s’apprête, pourquoi gémir ?

Levons-nous nos têtes : il va venir !

 

Refrain

 

 

Prédication :

 

Ma sœur, mon frère,

 

« Crois-tu cela ? »

 

Au cœur de ce récit, la question que le Christ adresse à Marthe, elle s’adresse aujourd’hui à chacune et chacun d’entre nous. Devant la détresse, Celui qui est venu jusqu’à nous, qui demeure parmi nous nous invite à placer notre confiance en lui pour nous relever et reprendre vie.

 

Nous sommes là à un moment charnière de l’Evangile de Jean. À la fin de la première partie de cet évangile qui couvre l’activité publique de Jésus, le chapitre onze sur lequel nous nous arrêtons ce matin rapporte le septième et dernier signe fait par Jésus.

 

Un signe ? L’auteur de l’évangile selon Jean désigne en effet les actes miraculeux de Jésus par un mot grec qui signifie « signes », à la différence des autres évangiles (Matthieu, Marc et Luc) où le mot qui signifie « puissance » est utilisé.

 

Un signe renvoie à autre chose qu’à lui-même. Par l’usage de ce terme, l’auteur incite le lecteur à aller au-delà de l’apparence du miracle et de ne pas s’arrêter à la dimension spectaculaire de celui-ci.

Les actes miraculeux de Jésus dépassent en effet la simple manifestation de puissance. Ils appellent à voir au-delà des faits, à dépasser l’événement pour trouver son sens véritable.

 

Dans l’évangile selon Jean, sept signes nous sont rapportés : les noces de Cana, la guérison du fils d’un officier royal, la guérison du paralysé de Bethesda, la multiplication des pains, la marche sur l’eau, la guérison de l’aveugle-né et le relèvement de Lazare. A l’occasion de chacun de ces signes, Jésus répond à l’attente des personnes qui croient que la présence de Dieu change quelque chose dans leur vie.

 

Lors de ce dernier signe, que nous appelons souvent « la résurrection de Lazare », il est effectivement question de donner la vie… mais pas seulement à son ami Lazare ! Car à travers ce récit nous découvrons que, lors de ce dernier signe avant la Passion, Jésus donne la vie à celles et ceux qui placent leur confiance en lui. Et cela ne se passe pas dans un futur inaccessible, lointain mais bien aujourd’hui même, dans le présent de nos vies.

 

Le réveil de Lazare est un signe que Dieu donne aux êtres humains pour mieux mettre en lumière la résurrection de Marthe, et par la même occasion, engager notre propre résurrection. Et oui, c’est Marthe qui, la première est relevée par Jésus !

 

Parfois, le salut de Dieu n’est au début que quelque chose dont on entend parler, comme Marthe qui apprend que Jésus arrive, et comme elle, nous ne savons pas bien ce que nous pouvons en attendre. Marthe choisit d’aller à la rencontre de Celui qui se présente. Dans la discussion avec Jésus, nous voyons au début qu’elle connaît parfaitement l’enseignement pharisien de l’époque mais pour autant, cela ne la console pas, cela n’apaise pas la douleur de la séparation.

 

La question de Marthe, son problème aujourd’hui, ce n’est pas la vie future mais de vivre maintenant avec cette épreuve. Marthe savait de manière théorique que Jésus était source de vie mais elle n’imaginait pas que ce don de vie pouvait être pour elle, que c’était elle qui était appelée à être ressuscitée.

 

Ce geste est immense car il dit la compassion de Dieu, il dit la force de l’amitié pour secourir, pour relever et pour donner la vie à celles et ceux que nous aimons. Ce geste de Jésus montre que Dieu ne se découragera pas de venir ouvrir les lieux mortifères dans lesquels nous nous enfermons ; ceux de nos égoïsmes, de nos manques de confiance ou d’espérance. Et ce, même si nous en sommes prisonniers depuis tellement longtemps que ceux qui nous entourent ont perdu tout espoir.

 

Un pasteur, Louis Pernot, remarque dans son commentaire de ce texte combien ce passage est long et il propose d’y voir qu’en effet, « rendre la vie à une personne est un itinéraire extrêmement difficile ». J’apprécie énormément cette interprétation qui reflète avec beaucoup de justesse la réalité et la dureté du combat pour redonner la vie qu’engage les personnes et les associations de solidarité, d’entraide et d’écoute auprès de celles et ceux qui se trouvent dans une situation de mort sociale, de souffrance invisible et silencieuse.  

 

Dans notre contexte actuel, ce texte résonne étrangement : nous sommes tous enfermés afin de ne pas menacer la vie de celles et ceux qui nous entourent…. L’épreuve que traverse notre pays et le monde entier est terrible. Comment sortirons-nous de celle-ci ? Nous ne pouvons pas prédire avec certitude ce qu’il en sera mais nous pouvons dire notre confiance pour aujourd’hui.

 

Notre confiance est que Christ ne nous laisse pas seuls dans la tempête qui nous agite.

Il a connu lui-même l’épreuve et l’angoisse. Il a été confronté aux malheurs dans ce monde, mais il nous a donné de voir, à Pâques, que sa promesse de vie nouvelle profondément ancrée dans l’amour est victorieuse et que le mal, l’angoisse et la mort ne peuvent triompher.

 

Amen.

 

Confession de Foi

 

Nous croyons en Dieu, qui nous appelle à œuvrer à ses côtés, en vue de construire le monde et de l’améliorer un peu plus chaque jour.

Il est notre force et notre lumière, et nous avons besoin de son amour et de sa force, tout comme il agit par nos bras, notre intelligence et notre cœur.

 

Nous croyons que le Christ nous a montré comment aider chaque être à porter sa souffrance et le guider sur le chemin de la vie et de la joie.

Son Esprit, l’Esprit de Dieu est en nous, même quand nous l’ignorons.

Nous avons confiance en lui, tout comme il nous fait aussi confiance.

 

Nous croyons que cet Esprit nous renouvelle et nous régénère, nous apaise, et réoriente nos pensées vers plus d’espérance et de fraternité.

Ainsi nous contemplons sa gloire.

Amen

 

Prière d’Intercession + Notre Père

Seigneur notre Dieu,

Cela fait déjà quelques jours que nos habitudes et notre quotidien sont bouleverséspar le confinement dû au virus.

Nous comprenons la nécessité de ce confinement et nous tentons de le respecter aumieux.

Nous nous adaptons chacun et chacune comme nous pouvons.

Dans certains cas, nous sommes inquiets pour nos proches et nous te le confions dans le secret de notre cœur.

 

Seigneur notre Dieu, aide-nous à revenir à l’essentiel.

Aide-nous à trouver le calme etla confiance intérieurs pour rester paisibles malgré les événements qui nousangoissent.

Par ta Parole, tu nous enseignes que le plus important c’est la relation d’amour que tunous offres.

 

En Jésus-Christ, tu nous apprends à aimer pour dépasser la peur et les conflits.

En ces temps de confinement qui nous ramènent à l’essentiel, cet amour que tuenseignes peut nous aider à nous convertir pour transformer des relations difficiles outendues vers des relations plus apaisées.

 

Seigneur notre Dieu, comme tous les autres jours nous voulons te prier :

pour les personnels soignants et tous les autres personnels qui travaillent en milieuhospitalier, dans les services à domicile et dans les crèches qui assurent la gardedes enfants de soignants,

pour les pompiers qui assurent les interventions urgentes,

pour les policiers qui doivent faire respecter les consignes,

pour les personnes enfermées avant l’épisode du virus en prison, en centre derétention et pour les personnels qui travaillent auprès de ces personnes,

pour les familles, confinées sans jardin dans de petits logements, avec des enfants etdes ados

pour les personnes qui vivent seules,

pour les personnes sans domicile fixe et pour les réfugiés qui n’ont plus de lieupour les accueillir.

 

Nous voulons te prier pour les familles endeuillées pour lesquelles s’ajoutent à la douleur de la séparation, l’impossibilité de pouvoir entourer leur proche comme elles le souhaiteraient. Nous te prions tout particulièrement pour notre sœur Claude Aviles qui a perdu son père il y a quelques jours ainsi que pour nous frères et sœurs de la communauté ADD suite au décès de l’un des membres de la communauté, Monsieur Vatier.

 

Seigneur, donne à chacun de nous ta confiance et ton espérance.

Bénis nos proches et ceux que nous aimons et que nous ne pouvons aller voir.

Et bénis-nous, nous aussi.

Ta présence dans nos vies est un soutien inestimable.

Et, comme tes enfants, nous voulons encore te prier ainsi:

 

Notre Père qui es aux cieux,

que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne,

que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.

Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.

Pardonne-nous nos offenses,

Comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ontoffensés.

Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre-nous du mal.

Car c’est à toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire,

Pour les siècles dessiècles,

Amen.

 

Envoi et Bénédiction

 

Seigneur,

celles et ceux qui se tournent vers toi  trouvent la paix,

celles et ceux qui demeurent en toi vivent pour l’éternité.

 

Accorde-nous ton aide dans toutes nos tâches,

sois notre guide dans nos désarrois,

notre protection dans tous les dangers,

notre consolation dans toutes nos peines,

par Jésus-Christ, notre Seigneur.

 

 

L’Éternel nous bénit
et nous garde.

L’Éternel fait briller sa lumière sur nous
et nous donne sa grâce.

L’Éternel lève son regard vers nous
et nous donne la paix !

Amen !(Nb 6:24-26)

 

Chant d’envoi: « Que la grâce de Dieu soit sur toi »

 

Que la grâce de Dieu, soit sur toi

Pour t’aider à marcher dans ses voies !

Reçois tout son pardon et sa bénédiction,

Va en paix, dans la joie, dans l’amour !

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