Dimanche 10 MAI 2020
Culte à la maison – EPU Agen
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Salutation et prière d’ouverture
Chers frères et sœurs,
La grâce et la paix vous sont données de la part de Dieu notre Père et de Jésus Christ, son Fils, qui nous aime et nous conduit par son Esprit.
Ce dimanche matin, notre dernière semaine de confinement se termine. Demain matin, un certain nombre d’entre nous vont reprendre leur activité professionnelle avec de nombreuses précautions. Diverses questions demeurent pour nous tous mais, déjà, se dessine devant nous un jour nouveau durant lequel nous pourrons nous réunir et célébrer ensemble dans la joie et l’espérance !
Je vous invite à la prière :
Dis-moi, Seigneur, de quoi sera fait demain,
mon demain à moi,
celui de ceux que j’aime ?
Tous ces demains semés d’espérances qui attendent de germer, les vois-Tu, Seigneur ?
Les vois-tu ces espérances enfouies au plus profond de nos jardins secrets, là où personne n’entre sinon Toi et Toi seul ?
Dis, les feras-tu éclore un jour nos espérances en graines, nos rêves, nos projets ?
De quoi sera fait demain ?
Après tout, qu’importe, puisque Ta présence, Seigneur, m’accompagnera au cœur de mes déserts, comme au plus fort de mes joies.
Ta présence qui m’invite déjà à vivre aujourd’hui comme pour mieux réaliser demain.
Non, ne me dis pas Seigneur de quoi demain sera fait.
Dis-moi seulement que Tu es là. Amen
[Prière de Robert Riber]
Chant : « Yahwé » (recueil JEM – adaptation du psaume 23)
https://www.youtube.com/watch?v=HHq-s3FOb9s
1 L’Eternel est mon berger, de rien, je ne manquerai.
Ô mon âme, chante, mon âme.
Pas à pas, il me conduit, au bord des eaux calmes, je le suis
Ô mon âme, chante, mon âme.
Refrain :
Oui, toujours, le bonheur et la grâce
M’accompagneront devant sa face.
Dans sa présence, tellement de joies, tellement de joies !
Et tant qu’il se trouve auprès de moi,
Aucun mal, mon âme, tu ne craindras.
Et, dans son temple, je reviendrai, je reviendrai.
- Et si je traverse encore
La vallée de l’ombre de la mort
Ô mon âme, chante, mon âme
Puisqu’il m’aime le premier
Non, rien ne pourra me séparer
De son amour, de son amour
Refrain
(suite colonne de droite)
Yahwé, Yahwé, tu fais briller sur moi ton soleil !
Yahwé, Yahwé, Ta lumière chasse au loin les ténèbres !
Yahwé, Yahwé, ta Parole éclaire mon sentier !
Yahwé, Yahwé, Yahwé
3 Bientôt il viendra me chercher
Et, dans sa maison, j’habiterai
Ô mon âme, chante, mon âme.
Sans cesse, jusqu’à son retour,
Mon âme, chante son amour
Tous les jours, tous les jours.
Refrain
Yahwé, Yahwé, tu fais briller sur moi ton soleil !
Yahwé, Yahwé, Ta lumière chasse au loin les ténèbres !
Yahwé, Yahwé, ta Parole éclaire mon sentier !
Yahwé, Yahwé, Yahwé
Illumination
Seigneur, donnes-nous le Souffle de ta Parole, ton Esprit d’Amour,
pour qu’il vienne prendre demeure en nous et ainsi transformer notre vie.
Seigneur, donnes-nous le Feu brûlant de ta Parole, ton Esprit de Vérité,
pour qu’il vienne en nos cœurs nous donner force et courage d’être,
force et courage de témoigner de toi dans nos vies.
Seigneur, donnes-nous par ta Parole l’Esprit de Liberté,
ce Souffle de vie qui réveille les hommes et les invite à te suivre. Amen.
Ce matin, nous continuons notre lecture dans l’Evangile selon Jean, cette fois-ci au chapitre 14, versets 1 à 12 :
- 1. Que votre cœur ne se trouble pas. Mettez votre foi en Dieu, mettez aussi votre foi en moi.
- 2. Il y a beaucoup de demeures dans la maison de mon Père. Sinon, vous aurais-je dit que je vais vous préparer une place ?
- 3. Si donc je m’en vais vous préparer une place, je reviens vous prendre auprès de moi, pour que là où, moi, je suis, vous soyez, vous aussi.
- 4. Et là où, moi, je vais, vous en savez le chemin.
- 5. Thomas lui dit : Seigneur, nous ne savons pas où tu vas ; comment en saurions-nous le chemin ?
- 6. Jésus lui dit : C’est moi qui suis le chemin, la vérité et la vie. Personne ne vient au Père sinon par moi.
- 7. Si vous me connaissez, vous connaîtrez aussi mon Père. Et, dès maintenant, vous le connaissez et vous l’avez vu.
- 8. Philippe lui dit : Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit.
- 9. Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous et tu ne me connais pas, Philippe ? Celui qui m’a vu a vu le Père. Comment peux-tu dire, toi : « Montre-nous le Père ! »
- 10. Ne crois-tu pas que, moi, je suis dans le Père, et que le Père est en moi ? Les paroles que, moi, je vous dis, je ne les dis pas de ma propre initiative ; c’est le Père qui, demeurant en moi, fait ses œuvres.
- 11. Croyez-moi : moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi. Sinon, croyez à cause des œuvres elles-mêmes.
- 12. Amen, amen, je vous le dis, celui qui met sa foi en moi fera, lui aussi, les œuvres que, moi, je fais ; il en fera même de plus grandes encore, parce que, moi, je vais vers le Père
Interlude musical : https://www.youtube.com/watch?v=VX7C7fwrROU
Prédication
Jésus, le Christ annonce sa disparition. Bientôt, les disciples seront laissés seuls et devront faire face à l’absence, à l’incompréhension.
Ce que les disciples ne pouvaient pas comprendre, c’est que la mort du Christ, la mort de Jésus, n’est pas la fin mais le début. C’est le moment où il « va vers le Père ».
Dans l’évangile selon Jean, aller vers le Père est le cœur de l’Évangile, de la Bonne Nouvelle.
Aller vers le Père, ce n’est pas la fin de l’histoire, c’est le début. Ce n’est pas la fin, la rupture de la relation à Dieu, c’est le début d’une histoire où Dieu se révèle.
Lorsque Jésus dit « le Père et moi nous sommes un », il nous fait comprendre une chose étonnante : là où lui, Jésus, se tient, Dieu se tient aussi. Là où il parle, Dieu parle. Là où il agit, Dieu agit. Mais aussi, ce qu’il ne dit pas, Dieu ne le dit pas. Ce qu’il ne fait pas, Dieu ne le fait pas. Pour connaître Dieu, regardons Jésus, écoutons Jésus ! Si on accepte ça, si on accepte de ne plus chercher Dieu que là, en cet homme, et pas dans les spéculations, alors on est obligé d’abandonner toutes nos tentatives pour comprendre Dieu à notre façon, pour le faire rentrer dans la boîte à chaussures de notre imagination.
Tenter de dire pourquoi la souffrance et la mort dues à la maladie ? Fini. Tenter d’expliquer pourquoi le dernier tremblement de terre qui a rasé une ville ? Fini. Tenter d’expliquer pourquoi les atrocités dont sont capables les humains ? Fini aussi. Là où nous rencontrons Dieu c’est dans cet homme-là, qui n’a jamais tué personne, mais qui a relevé Lazare. Dans cet homme-là, qui n’a jamais rendu personne malade, mais qui a guéri. Dans cet homme-là, qui n’a jamais rendu personne paralytique, mais qui a fait marcher les estropiés. Cet homme-là n’a jamais révélé un Dieu tyran, assoiffé de vengeance et de sang, mais un Dieu de douceur, de tendresse, un Père. Pas un Dieu qui nous surveille du coin de l’oeil en permanence pour s’assurer que nous marchons à la baguette, mais un Père qui se réjouit de voir ses enfants se relever lorsqu’ils ont trébuché.
Un Père qui ne fait que nous attendre dans cette demeure. Demeurez dans mon amour, nous dit Jésus. Demeurez dans mon amour, nous dit Dieu.
Demeurez dans mon amour…
Ça a l’air abstrait ? Ça a l’air d’un petit poème un peu mièvre ? Vous croyez ? Alors nous n’avons pas vraiment entendu ce que nous dit Jésus.
« Moi je suis le chemin, et la vérité, et la vie. » C’est la parole d’un Dieu qui appelle. Qui nous appelle. Qui ne fait qu’espérer notre réponse, sans jamais l’exiger. Il appelle, et il parle. « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. » Et en même temps, « demeurez dans mon amour. »
Demeurez en chemin. Demeurez dans l’amour du chemin. Croire en Dieu, c’est croire que la confiance en Dieu est possible, c’est engager sa foi, c’est marcher. Est-ce que ma foi me fait grandir vers le Père ? Est-ce qu’elle me fait avancer, ou est-ce qu’elle me paralyse ? Est-ce qu’elle me met en chemin, sereinement, assuré de l’amour qui m’est donné ? Ou est-ce qu’elle me pousse à vouloir voir le but à tout prix, à regarder par-dessus l’épaule du Christ pour essayer d’apercevoir un père que j’imagine toujours terrorisant ? Demeurez en chemin… demeurez sur les pas du Christ qui guérit, qui appelle, qui ressuscite et qui fait danser les paralytiques ! C’est en chemin qu’il nous mène vers le Père. C’est dans les accidents du chemin qu’il se rend visible à nous. Dans les moments où nous ne savons plus quoi dire de notre foi, mais où il ouvre la voie, malgré tout, sans jamais se lasser de nous.
Demeurez en chemin, demeurez dans l’amour du chemin. Ce n’est pas les yeux fixés sur le ciel que nous pouvons avancer, mais dans ce monde, en chemin avec nos frères humains, tous nos frères, assurés qu’une demeure nous attend, préparée pour nous, mais chargés ici, et maintenant, de témoigner de ce chemin dans nos vies. A ces disciples qui regardent au ciel, par-dessus sa tête, Jésus dit : regardez-moi, suivez mon chemin et faites comme moi.
Donnez votre propre réponse vivante. C’est vous qui allez maintenant prendre en charge l’Évangile. Ce que je vous montre est plus concret, réel, et plus solide que vos rêves.
Demeurez en vérité. Demeurez dans l’amour de la vérité. La vérité n’est pas une idée objective, a priori, morte et définitive, qu’on « détiendrait », qu’on « possèderait », et qui dispenserait d’avoir à marcher et à vivre. La marche se prouve en marchant, le chemin se déroule, la vérité se construit, se découvre, se déploie, la vie s’approfondit et s’enrichit. C’est une vérité qu’on parcourt, qu’on explore, qu’on découvre, qu’on expérimente, qu’on ajuste.
C’est un champ qu’on laboure en y semant sa vie, pas une autoroute. Personne ne peut faire l’économie de son propre chemin, vers elle et avec elle.
C’est ce que nous voyons concrètement dans la vie de Jésus, la vérité de cette vie, ce chemin unique. Comme un éclaireur, Jésus nous a ouvert et éclairé la route. Suivre Jésus, dit Jean, c’est la voie royale pour découvrir la vérité et la vie, en explorer les dimensions, la hauteur, la largeur, la profondeur. Alors se dessine le visage du Père, et se découvre la vaste maison du Père où chacun avec sa vérité, la vérité de sa vie, trouve sa place, en frère ou sœur de Jésus…
Demeurez en vie, demeurez dans l’amour de la vie. Personne ne peut faire l’économie de sa réponse à Dieu et de son obéissance (exigeante c’est vrai !) au Père. Nul ne peut faire l’économie de son chemin, de sa vie, de sa vérité. « Je suis le chemin, la vérité et la vie », ce n’est pas un code secret, ce n’est pas une clé pour tout comprendre d’un Dieu mystérieux, ce sont les premiers mots d’une vie, c’est un doigt qui montre un chemin. Il s’agit maintenant de marcher, d’être vrai, de vivre. Aimer, c’est vivre ; et inversement, l’indifférence, le rejet, la rancoeur, la méchanceté, c’est haïr et c’est être mort. Demeurez en vie, c’est un appel à être libre d’aimer comme nous sommes aimés.
Demeurez dans l’amour du chemin. Demeurez dans l’amour de la vérité. Demeurez dans l’amour de la vie. C’est ainsi que, dès maintenant, vous connaissez le Père.
Nous croyons que le Dieu vivant, c’est celui qui nous accompagne sur nos chemins incertains, dans notre vie telle qu’elle est, avec nos vulnérabilités. Ceux qui, dans l’histoire, se sont engagés dans cette aventure ont fait des miracles tout aussi grands que tous les signes que Jésus a manifestés sur terre, tout simplement parce qu’ils ont eu confiance dans cette parole qui les précédait, ils ont eu confiance dans la responsabilité qui leur était donnée. Ils ont pris au sérieux la liberté qui leur était donnée de faire des miracles. De résister à la tentation de la résignation face au malheur. D’accomplir ces gestes de soin, de libération, de compassion qui passent par nous pour manifester le Royaume de Dieu. En Jésus, le Royaume s’est approché, pour manifester un Dieu qui ne hait jamais, mais qui aime ; qui n’enferme jamais, mais qui libère ; qui n’accuse jamais, mais qui accueille ; qui n’accable jamais, mais qui libère.
Vous le pouvez, dit Jésus : vous le pouvez, dit Dieu. Car vous êtes, simplement, déjà, en chemin. Vous êtes en vérité. Vous êtes en vie. Et vous avez la liberté de le manifester, sérieusement, sereinement et joyeusement !
La suite de l’histoire est à écrire avec notre propre vie. Ce n’est pas une fin, c’est un début !
Amen
Chant : « Cherchez d’abord »
https://www.youtube.com/watch?v=wUpZ0aCvETI
- Cherchez d’abord le Royaume de Dieu,
Cherchez d’abord sa justice !
Et toutes choses vous seront données en plus,
Allélu, alléluia !
Alléluia ! (4 x)
- Vous ne vivrez pas de pain seulement
Mais bien de toute Parole
Qui sortira de la bouche du Seigneur,
Allélu, alléluia !
Alléluia ! (4 x)
Confession de Foi
Je crois en Dieu le Père,
tout-puissant créateur
du ciel et de la terre.
Je crois en Jésus Christ, le Fils de Dieu.
Il est venu vivre parmi nous,
il est mort sur la croix,
il est ressuscité.
Aujourd’hui et pour toujours,
il est avec nous.
Je crois en l’Esprit saint
qui nous rassemble dans l’Église
et qui nous fait vivre.
Amen.
Chant : « Magnifique est le Seigneur »
https://www.youtube.com/watch?v=KA7geiRA2LQ
Annonces :
- Un culte consistorial de l’Ascension devait être célébré le jeudi 21 mai comme cela est le cas chaque année toutefois, les circonstances actuelles ne nous permettent pas de nous réunir avant une date encore inconnue à ce jour. Ce temps de confinement nous a pourtant prouvé que nous pouvions être créatifs et vivre notre foi « autrement » ! Aussi, nous vous proposons un temps de culte téléphonique de 10h30 à 11h30 le jeudi 21 mai. Pour y participer, rien de plus simple : il suffit de téléphoner au numéro suivant 09 72 45 89 99 à l’heure dite (10h30), et nous serons en communication ! La communication est gratuite, nous vous demanderons simplement de couper le son du micro de votre téléphone lors du culte afin d’éviter les bruits parasites.
- Reprise des cultes « en présence » : Comme nous venons de l’écrire un peu plus haut, nous ne connaissons pas encore la date exacte de l’autorisation de reprise de l’activité cultuelle. Cependant, les réunions en petit comité vont probablement être autorisées sous réserve d’un respect strict des consignes sanitaires. Nous vous donnerons plus d’informations sur les différents rendez-vous dans notre prochain envoi.
Prière d’Intercession
Dieu notre Père, ta Parole nous redit ton amour pour ce monde :
Dieu d’Abraham, Dieu de la promesse, donne-nous d’être les témoins de ta fidélité que le monde attend.
Dieu de Jacob, Dieu du combat, donne-nous de lutter contre le mal, l’injustice et la souffrance.
Dieu de Moïse, Dieu de la délivrance, donne-nous de libérer les prisonniers du doute, du désespoir et de la peur.
Dieu de David, Dieu des louanges, donne-nous de répandre la joie de te connaître.
Dieu d’Élie, Dieu de la faim rassasiée, donne-nous de partager notre pain avec celles et ceux qui ont faim.
Dieu de Jésus Christ, Dieu d’amour, donne-nous, en tout temps et en tout lieu, d’être comme les échos de ta Parole qui accueille, console et donne la paix.
Notre Dieu, ce matin nous voulons te prier : pour tous ceux qui ont connu un deuil pendant ce temps de confinement et pour qui, à la douleur de la perte d’une être aimé s’est ajoutée celle de ne pouvoir exprimer leurs peines comme ils l’auraient souhaité.
Pour tous ceux qui ont souffert de la solitude et de l’étreinte du silence.
Pour tous ceux qui se trouvent dans une situation encore plus précaire par la perte de leur emploi et qui craignent les jours à venir.
Pour tous ceux que nous te nommons, dans le secret de notre cœur…
Silence
Ensemble, unis les uns aux autres, malgré les distances qui nous séparent, nous te disons d’un même cœur la prière que Jésus nous a enseignée :
Notre Père qui es aux cieux,
Que ton nom soit sanctifié,
Que ton règne vienne,
Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation,
Mais délivre-nous du mal.
Car c’est à toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire.
Amen.
Envoi et Bénédiction
Frères et sœurs,
Demain matin, tout ne redeviendra pas comme avant subitement, comme si nous appuyons à nouveau sur le bouton « Play » et que la musique repartait, sans souvenirs de cette période si particulière que nous venons de traverser. Mais pour autant, assis dans notre salon, au bord de notre fenêtre ou dans le jardin, ce matin, nous croyons en la force de la promesse du Christ qui nous a dit : « Je vous laisse ma paix, je vous donne ma paix. » « Que votre cœur ne se trouble pas.”. Cette promesse elle nous entraîne, à nouveau, sur la route du témoignage et nous donne de demeurer dans l’espérance !
Que l’Eternel nous bénisse et nous garde confiants, par son Esprit qui nous conduit avec amour dans nos vies.
Chant d’envoi : « Que la grâce de Dieu »
https://www.youtube.com/watch?v=igidq8ZLt7k
Que la grâce de Dieu soit sur toi
Pour t’aider à marcher dans ses voies !
Reçois tout son pardon et sa bénédiction,
Va en paix, dans la joie, dans l’amour !